Cet été vibre d’une énergie particulière pour ce restaurant d’inspiration péruvienne, désormais géré par Victor Bosc. Au menu, des produits frais et de qualité, du rire et de la légèreté, garants d’une soirée réussie. “En hommage à Manco Capac, fils du Dieu Soleil, fondateur du peuple Inca, le Manko est une adresse de partage et de convivialité”, assure ce natif du village, par ailleurs propriétaire du Hobo à la Ponche. En cuisine, le chef Paul Ruchot, qui a tra- vaillé pour nombre d’adresses tropéziennes, signe une carte de ceviches frais et légers, “notre marque de fabrique”, et de grillades exceptionnelles cuites au four à charbon. Ce lieu, lové dans une ruelle du vieux village, fait figure d’ins- titution tropézienne. Manko renoue avec la nuit azuréenne estivale et respire la fête, “sur des notes disco qui font fredonner et donnent envie de bouger”, sourit Victor. Une fois la porte en bois poussée, la végétation luxuriante invite aussi au voyage. “On s’est donné pour mission que les gens s’amusent et oublient tout, c’est notre plus grand bonheur”, souffle Victor.
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