« Je suis fière de cette maison qui appartenait à ma grand-mère. Je suis arrivée en 2020, prenant la succession de ces Galeries comme une évidence. Quel chemin parcouru ! Considérée comme le premier concept-store au monde, cette boutique référence l’est aussi pour son ambiance : hippie dans les années 70, esprit loft dans les années 80, aujourd’hui authentiquement branchée. On y propose des produits ciblés, très recherchés par nos clients fidèles, comme les espadrilles ou les chaussettes en cachemire. On y contente des familles entières ! Au sein de la boutique, ce n’est jamais nostalgique. Les Galeries Tropéziennes, c’est de la joie et de la sincérité à chaque rayon. »
Côté direction, la relève a un nom et c’est celui de Pauline Moreu. La proposition ? Elle est inchangée et s’étoffe même en beauté. Les Galeries Tropéziennes, c’est une vaste sélection de produits à la fois désirables et nécessaires : avec plus de 100 fournisseurs impliqués et plus de 4000 références répertoriées, on oscille entre le prêt-à-porter, le linge de maison, la brosserie, la vaisselle, les tissus au mètre, les accessoires, les soins de salle de bains… Une signature essentiellement « made in France », même si certaines pièces proviennent d’autres pays d’Europe comme la maroquinerie italienne. Aussi, la boutique se divise en deux bazars précis – le chic et le pratique –, mais le tout est un joyeux mélange, très apprécié des locaux comme des étrangers. Autre spécificité : cette boutique-institution reste bien impliquée dans le « poumon tropézien », ce qui, en dehors des commerces de bouche, est assez rare. Ici, la sélection est faite non pas pour la marque mais bien pour le produit, ce qui génère différentes fourchettes de prix. Plus que des Galeries, un hymne à la vie.