Une vue sur la ville et la mer, un jardin et une bande de copains de bonne humeur. “Chez nous, on passe un bon moment avec l’impression d’avoir quitté la ville, si près mais si loin : on déconnecte de la routine le temps d’un déj ou d’un dîner”, explique Paul Langlère, fondateur du restaurant Sépia. Avec un service décontracté et des assiettes de qualité (soupe au pistou œuf tremblotant anguille fumée et gingembre, paleron façon pot-au-feu rôti à la braise déclinaison d’oignons), les fondamentaux n’ont guère changé depuis 5 ans. “Pour éviter de refuser du monde en soirée, on a lancé Julis, un concept en terrasse et dans le jardin, bien plus informel. Au sunset, les clients partagent des assiettes de mets élaborés, mixent les suggestions et Julis devient un lieu de retrouvailles arrosées de vins et cocktails” poursuit Paul Langlère. On vient pour passer un moment, et on oublie la montre, portés par l’énergie virevoltante de Lulu et son équipe. La liberté est de mise, on commande les cocktails classiques ou on se laisse guider : “avec quatre créations chaque semaine”. Une carte de vins fraîche et gourmande complète l’offre. Pour répondre aux envies de légèreté, la carte de tapas vespérales joue la fraîcheur et en appelle aux marinades. “On a sélectionné les belles charcuteries de Louis Ospital, les pains de Pierre Ragot, les légumes de producteurs locaux et les fameuses ricotta de Gilles Baille, éleveur à Trets”. Jamais en reste d’une bonne idée, l’équipe a aménagé la “table du potager”, en contrebas du restaurant, un espace en plein air avec son terrain de pétanque, au milieu des aromates, réservé aux groupes de 10-15 personnes, avec une offre clef en main décomplexée. De l’apéro à l’épaule de cochon confite en passant par les coquillages et les desserts, l’offre food et vin est hyper qualitative, garante d’un moment heureux. Et en matière de bonheur, chez Sépia, on sait faire.